18 décembre 2013
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Arsène, viens , je t'emmène
Où le soleil te donnera du carotène
Arsène, viens je t'emmène
Où la lune séduit les madrilènes
Je t'ai tellement embêté
Tellement supplié
Que tu as cédé !
Arsène,
Tu es blanc comme un acouphène
Comme un radis sans oxygène.
Tu sembles sortir de l'oligocène
Ou même du pléistocène!
Arsène, viens , je t'emmène,
Où tu bronzeras comme de l'ébène
Arsène , viens, je t'emmène,
Où tu rougiras comme un hellène
Viens, Arsène !
Comment, non?
Eh! Va donc lavabo!
Voilà l'avant dernier élève de la "cour de récré " de Jill Bill
Je viens seulement d'apprendre le décès subit du petit-fils de Jill Bill ; j'avais déjà publié mon texte. C'un un grand malheur qui tonche notre amie et sa famille .