(Notre atelier)
Dimanche matin, je me suis levée à 4H45 : non, je ne suis pas tombée subitement du lit ; j’avais prévu de faire les puces , pas pour acheter , mais pour vendre. Et c'est la première fois !
Depuis le temps que mes enfants me disent , que j’ai trop de bibelots et d’objets que je n’utilise jamais , j’avais pris cette grande décision .
J’avais donc passé le samedi après-midi à farfouiller, trier, ranger . Nous chargeons la voiture avant d’aller au lit. J’étais fin prête . Dimanche , nous partons , mon fils et moi en espérant trouver un emplacement ..
( Tribbiu : saucisse sur pattes )
Arrivés à Bastia , après une heure de route , nous commençons à trouver le calme qui règne , un peu inquiétant : pas la moindre puce à l’horizon : ni grande, ni petite, aux yeux bleus ou gris : rien !
Nous voyons des tentes , là où auraient dû se dérouler les puces . Nous nous renseignons auprès d’un chercheur de puces .
Il allait y avoir une manifestation sportive : juste ce dimanche là !
C’est pour cela que les puces étaient restées au lit, pendant que moi, je les cherchais. Nous sommes donc remontés au village et nous avons déchargé la voiture .
Je n'ai pas pu me débarrasser de mes puces ; c'est contrariant !
Mon fils m’a dit :
-« Ne profite pas de ce contretemps pour récupérer des choses ! «
Ils sont ingrats ces enfants et méfiants !
Tiens, je vais profiter qu’il n’est pas là pour ranger les cartons. Fouiller moi ? Jamais !Je ne veux pas attraper des puces !